Pour commémorer le centenaire de la fondation du Bauhaus, l'Institut Mathildenhöhe présente une exposition qui jettera un éclairage sur l'importance du Bauhaus et de l'architecture après la Deuxième Guerre Mondiale. L'exposition en 1901 réalisée par la colonie d'artistes de Darmstadt fut la première exposition permanente d'architecture moderne dans le monde et elle influença de nombreux projets de planification urbaine et d'expositions depuis cette époque. C'étaient principalement les membres de la colonie Joseph Maria Olbrich et Peter Behrens qui présentèrent de nouvelles idées à Darmstadt à travers leur design holistique et leur architecture futuriste, qui furent à leur tour développés par le Werkbund, qu'ils cofondèrent ensemble, et finalement par le Bauhaus. Ce n'est pas un hasard si les directeurs du Bauhaus, Walter Gropius et Ludwig Mies van der Rohe, travaillèrent tous deux dans le studio de Peter Behrens au tout début de leur carrière et qu'ils furent les témoins de comment l'architecte utilisa un design créatif, artisanal et une fabrication à grande échelle. Après 1945, l'héritage de la colonie d'artistes de Darmstadt inspira la ville détruite par la guerre à se reconstruire comme un centre d'architecture moderne et de design et ces initiatives conduisirent à la construction de plusieurs "Meisterbauten" (Chefs-d'oeuvre de création architecturale) conçues par des architectes de renom tels que Max Taut, Otto Bartning et Ernst Neufert.

Cette installation est la première rétrospective sur le continent européen d'Harald Sohlberg (1869-1935),  l'artiste peintre norvégien, en honneur du 150e anniversaire de sa naissance. Sohlberg, qui fut un contemporain et un ami d'Edvard Much (1863-1944), est plus connu pour son chef-d'œuvre Nuit d'hiver à Rondane, produit entre 1899 et 1914. Cette peinture captive aujourd'hui encore l'âme des Norvégiens et a été élue comme la peinture la plus populaire dans le pays par ses habitants dans les années 1990. Cet icône de l'art norvégien, qui n'a jamais été prêté depuis son acquisition par le Musée National à Oslo en 1918, sera exposé à Wiesbaden.

Helene Schjerfbeck (1862-1946) est une icône nationale finlandaise. Du style naturaliste de ses débuts  - perfectionné pendant ses études en France- à ses autoportraits hautement abstraits, cette exposition présentera Schjerfbeck au public britannique pour la première fois.

La nouvelle exposition numérique de l'Atelier des Lumières propose une immersion dans les toiles de Vincent van Gogh. Épousant la totalité de l'espace de l'Atelier, cette nouvelle création visuelle et sonore retrace la vie intense de l'artiste tourmenté qui peignit pendant les 10 dernières années de sa vie plus de 2000 tableaux, aujourd'hui dispersés à travers le monde.

With 98 works on display by 68 artists, the exhibition seeks to analyse not only the place that pastel holds compared to traditionally venerated oil painting, but also the reasons that led different artists in the 19th and 20th centuries to turn to and reclaim this medium. Divided into 10 chronological sections, the show highlights the key moments and crucial figures in the rebirth of pastel during the first iteration of modernity, a time when this technique came to be considered an art in its own right.

La couleur bleue définit le caractère spirituel et esthétique de l'art entre les deux siècles, et représente un lien poétique entre les phénomènes de la nature et les états d'âme.

La première exposition itinérante "Charles Rennie Mackintosh: la création du style Glasgow"  sera la première exposition aux États-Unis pas seulement pour montrer l'oeuvre fondamentale de Charles Rennie Mackintosh ( 1868-1928). Cette exposition révèle la relation entre l'artiste le plus étroitement aligné avec le style Glasgow et la ville, représentée à travers la richesse extraordinaire qu'on trouve dans les collections de citoyens de la ville.

Avec des affiches et peintures, sculptures, meubles et céramiques, l'exposition illustre l'extraordinaire épanouissement artistique et artisanal qui a bouleversé et changé le goût décoratif au début du xxè siècle.

L'exposition finale du Munch Museet, avant que le musée ne s'installe dans son nouvel édifice, présente pour la première des oeuvres de toutes ses collections. Il s'agit de la dernière opportunité de visiter le musée Munch dans son bâtiment iconique depuis 1963.

L'exposition comprend des oeuvres célèbres de Munch comme Le Cri, Madone, Nuit étoilée, Le Baiser et d'autres joyaux d'artistes comme  Amaldus Nielsen, Harriet Backer, Ludvig Ravensberg, Teddy Røwde, Jakob Weidemann et Johan Berner Jakobsen.

Cette exposition explore les modèles aux couleurs vives de Tiffany et leur rapport avec les mouvements émergeants d'arts et métiers du début du XXe siècle. À travers la présentation dynamique, illuminée de 20 des lampes de verre teinté, de bureau et sur pied, "Tiffany en fleurs" introduit les visiteurs dans l'univers magique créé par Tiffany avec des centaines d'éclats de verre et le "nouveau" pouvoir de la lumière électrique. Des photographies de cette période et des récits de ses artisans fournissent également une vision de l'atelier et du magasin de Tiffany.